Au coeur de la forêt, forêt, auprès des grands arbres, tout est calme. Par les sentiers, des coins boisés immenses. Dans les allées, au vent sacré, les feuilles dansent, entrent en transe.
HOUHOUHOU LALALA
Le coeur de la forêt, forêt, est proche de mon âme, mon âme. J'entends au loin chanter, chanter, les voix des grands arbres, sans vacarme.
Allez porte vos chants secrets aux hommes déracinés, pris au piège de leur sort, leur sort.
HOUHOUHOU LALALA
Au coeur de la forêt, forêt, auprès des grands arbres, tout est calme.
LOVE LOVE – ILÉA
C’est dans ma tête, C’est sur ma peau, Dans tout mon être, Jusque dans mes mots, C’est dans ma voix, Ancré dans mon âme, En tout ce que je crois, Et tout ce que je clame
LOVE LOVE LOVE LOVE C’est mon univers, Ma raison de vivre, Mon point de repère, Mon équilibre, C’est ma conviction, Le fil de mes pas, Ma seule ambition, Le coeur de mon moi
LOVE LOVE LOVE LOVE C’est mon horizon, Le goût de mon sang, La couleur de mes illusions, La richesse de mes instants, C’est le fruit de ma quiétude, La valeur de mon nom, Au gré de mes attitudes, Autour de mes chansons
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PAR MA VOIX – ILÉA
J'expire dans le silence, mon souffle tel un murmure
En une lascive danse, il traverse les murs
Et glisse à ton oreille des promesses sacrées
Des mots et des merveilles, gage de volupté
À toi de les entendre, à travers l'air léger
Se poser comme de tendres et langoureux baisers
Le long de tes désirs faire tes quatre volontés
Afin que tu chavires, oh, au sein de mes pensées
Hey ! Ici et là, lalalalala
Par ma voix, je suis ici et là (bis)
Je cueille sur ta peau, le fruit de mes délices
Aux doux sons de mes mots, ma voix telle un supplice
T'attire et te tiraille, te sort de ta quiétude
De mille tons t'assaille, te vole ta solitude
À toi de te défendre ou de la laisser faire
Elle qui sait te comprendre saura te satisfaire
Chaque élan de ton corps t'incite à communier
À être en plein accord avec son franc-parler
Hey ! Ici et là, lalalalala
Par ma voix, je suis ici et là (bis)
Je grave au plus profond, au coeur de tes artères
Les lettres de mon nom, comme d'infimes lumières
Rutilant dans tes yeux telles de précieux joyaux
Te hissant jusqu'aux cieux, aux astres les plus hauts
À toi de me les rendre quand l'heure sera venue
De ne plus nous étendre sur des malentendus
Au fond de tes entrailles, blotties dans tes viscères
Déjà elles tressaillent en songeant au calvaire
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PAR-DELÀ LES SENTIERS – ILÉA
En des terres des plus reculées
Où la brume se mêle au vent
Rodaient chimères par-delà les sentiers
Et sous l'écume des torrents
Ah Licornes, Elfes, Fées,
Leprechauns !
Dans la verte Érin, légendes et
Contes d 'Antan influaient sur les Celtes,
C'est en nous à présent que raisonnent leurs fêtes
En nous à présent pour chanter à tue-tête
Ah Licornes, Elfes, Fées,
Leprechauns !
Puisque c'était alors, ce n'est plus maintenant
L'ère des sorts jetés par les "Bonnes Gens"
Dans le creux des fossés, chemin faisant
Croise-t-on des nuées de lutins
à présent ?
Ah Licornes, Elfes, Fées,
Leprechauns !
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